Samedi 9 juillet 2016
Bac d'un petit "train" composé d'un futreau et d'une toue depuis les grèves qui approchent au sol les 50 degrés ! Destination : les frondaisons des grands arbres qui surplombent la rive Bourbonnaise (photo frédéric mourier).
Tôt ce matin, en prévision de la chaleur, une équipe mixte a violenté la ronce pour "mettre en fosse" et à l'ombre la totalité de nos nacelles. Un travail harassant récompensé par l'obligation finale d'entrer pieds nus en rivière.
C'est une magnifique et dépaysante perspective qui se découvre depuis ce nouvel appontement. Ici, la vision se porte à plus de deux kilomètres vers l'amont, en direction du pont du Veurdre qui d'où nous sommes vibre comme un mirage. C'est la magie de cette vallée d'offrir, en plein bocage, une telle ouverture au regard.
L'astre maintenant au zénith oblige à quelques astuces pour maintenir la cervoise fraîche... Le limon juste découvert fera l'affaire.
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