Lundi 3 août 2015
En contraste absolu avec le mois de juillet 2014, la rivière n'est maintenant plus naviguable. Elle montre actuellement un étiage sévère, jamais vu depuis plusieurs dizaines d'années et outre le fait que nous devons nous assurer qu'il reste pour nos futreaux et toues de petites "fosses" protégées des rayons ardents du soleil, nos impératifs changent.
Plus d'eau, il reste à travailler nos chevaux !
En prévision de prochaines évocations proposées lors de notre fête d'été, il n'est pas l'heure de se désoeuvrer car de jeunes montures, à l'instar de Taraf ou Tibalt, attendent de découvrir le monde.
Un cheval dans un spectacle doit être "froid" et coutumier de toutes les malices des hommes (coups de fusil, cris d'enfants, spectateurs entreprenants, lumières bizarres, odeurs curieuses et costumes inquiétants, sans parler de l'accès à un plateau de scène parsemé de fils et câbles divers).
Voici le jeune Tibalt en formation, portant son premier cavalier, qui s'immerge comme un baptême au pied d'Embraud, dans la rivière Allier.
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