Mardi 22 septembre : 3ème étape
3e journée : St Thibault (18 St Satur) - Briare (45). 46 km.
Départ de Saint-Thibault à 8h45. Les copains du Sancerrois (famille Alabeurthe, Pierre Riffault, Philippe Prieur) assistent au lever des ancres. Philippe pousse les bateaux. Quant aux brouillards de Loire, ils sont fidèles au rendez-vous. Deux heures durant, la navigation va être pénible : au milieu de la brume, de gros rochers parsèment le fleuve. Disposés en quinconce, il faut sans cesse les éviter.
L'équipage fait une pause à Cosne-sur-Loire, l'occasion d'être salué une dernière fois par quelques amis qui ont suivi jusqu'au pont. Voici les bateliers de Cosne, anneaux aux oreilles, qui viennent voir les bateaux et les gars qui les mènent. Discussion entre passionnés de batellerie.
De nombreux bancs de sable et un courant très affaibli annoncent la présence de la centrale dont on aperçoit les tours de fort loin. L'écluse de Belleville est atteinte à 12h30. L'équipe du "p'tit Robert", prévenue de l'arrivée des Chavans, est à pied d'oeuvre, en compagnie de Jacky Griffet déjà sur les lieux. Ils sont 6 hommes, dont un homme-grenouille et doivent même désensabler le chenal à la pelle. Sans eux, le passage serait impossible, qu'ils soient remerciés pour leur travail.
A 13 heures, les deux bateaux ont franchi l'écluse. On casse la croûte sur place. Départ à 14h15. On passe devant Bonny. Puis, c'est un très beau village des bords de Loire : Ousson et sa petite église. On se croirait dans "Jean Tambour" !
Le soleil est bien chaud et cuisant pour les mariniers. En aval d'Ousson, des rapides avec - à nouveau - de grosses pierres obligent à redoubler de vigilance. Châtillon-sur-Loire est aperçu vers 16h00 et on arrive enfin à Briare à 16h40.
Aujourd'hui, les charpentiers de l'équipage ont du consolider tous les postes d'avirons, soumis à rude épreuve depuis 3 jours. Le campement, ce soir, est établi sur une belle plage de sable fin. Les lumières du pont-canal viennent de s'allumer et l'on pense déjà à la journée du lendemain. On vient d'apprendre que le passage prévu par grue à la centrale de Dampierre-en-Burly n'était pas possible : plus de grue ! Une seule solution : prévoir des rouleaux et contourner...
Départ de Saint-Thibault à 8h45. Les copains du Sancerrois (famille Alabeurthe, Pierre Riffault, Philippe Prieur) assistent au lever des ancres. Philippe pousse les bateaux. Quant aux brouillards de Loire, ils sont fidèles au rendez-vous. Deux heures durant, la navigation va être pénible : au milieu de la brume, de gros rochers parsèment le fleuve. Disposés en quinconce, il faut sans cesse les éviter.
L'équipage fait une pause à Cosne-sur-Loire, l'occasion d'être salué une dernière fois par quelques amis qui ont suivi jusqu'au pont. Voici les bateliers de Cosne, anneaux aux oreilles, qui viennent voir les bateaux et les gars qui les mènent. Discussion entre passionnés de batellerie.
De nombreux bancs de sable et un courant très affaibli annoncent la présence de la centrale dont on aperçoit les tours de fort loin. L'écluse de Belleville est atteinte à 12h30. L'équipe du "p'tit Robert", prévenue de l'arrivée des Chavans, est à pied d'oeuvre, en compagnie de Jacky Griffet déjà sur les lieux. Ils sont 6 hommes, dont un homme-grenouille et doivent même désensabler le chenal à la pelle. Sans eux, le passage serait impossible, qu'ils soient remerciés pour leur travail.
A 13 heures, les deux bateaux ont franchi l'écluse. On casse la croûte sur place. Départ à 14h15. On passe devant Bonny. Puis, c'est un très beau village des bords de Loire : Ousson et sa petite église. On se croirait dans "Jean Tambour" !
Le soleil est bien chaud et cuisant pour les mariniers. En aval d'Ousson, des rapides avec - à nouveau - de grosses pierres obligent à redoubler de vigilance. Châtillon-sur-Loire est aperçu vers 16h00 et on arrive enfin à Briare à 16h40.
Aujourd'hui, les charpentiers de l'équipage ont du consolider tous les postes d'avirons, soumis à rude épreuve depuis 3 jours. Le campement, ce soir, est établi sur une belle plage de sable fin. Les lumières du pont-canal viennent de s'allumer et l'on pense déjà à la journée du lendemain. On vient d'apprendre que le passage prévu par grue à la centrale de Dampierre-en-Burly n'était pas possible : plus de grue ! Une seule solution : prévoir des rouleaux et contourner...
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